Nouveau scandale ENDOXAN Cyclophosphamide
Une palette d’infractions entraînant la mort de plus de 1000 patients en France !
- Dissimulation de plusieurs formulations sous l’appellation ENDOXAN poudre en France
- Mise sur le marché non conforme de l’ENDOXAN sans évaluation de la Haute autorité de santé (HAS)
- Tromperie sur l’origine de l’ENDOXAN poudre qui est en réalité de l’ENDOXAN N-1g produit par
Zydus Cadila Oncosciences en Inde, réétiqueté par Baxter - Homicide: dans plus de 13% des décès signalés l’ENDOXAN est seul suspect (CRPV Poitiers)
Depuis des années les pharmaciens, oncologues et patients sont trompés par le laboratoire
Baxter et l’ANSM
En février 2016, L’ENDOXAN a commencé à faire parler de lui dans l’affaire Biotrial au CHU de Rennes,
prodigué à l’un des patients, à titre exploratoire, souffrant aujourd’hui de graves séquelles.
Puis entre le 10 et 13 novembre 2016, alors qu’une molécule de chimiothérapie Melphalan est remplacée
par de l’ENDOXAN, 3 patients porteurs de lymphomes hospitalisés au CHU de Nantes, décèdent de
manière inattendue (complications respiratoires et cardiaques).
Et au même moment, le 10 novembre 2016, suite à l’administration du même lot d’ENDOXAN 6E089B, une
petite fille de 8 ans décède avec les mêmes complications cliniques au CHU d’Angers.
Immédiatement les familles ont alerté les autorités (5 morts), et réunies au sein de l’association d’Aide aux
Victimes d’Endoxan Cyclophosphamide (AVEC), ont déposé plainte devant le Tribunal Judiciaire de Paris
Pôle santé, pour homicide involontaire, administration de substances nuisibles ayant entraîné la mort et
tromperie sur les qualités substantielles de l’ENDOXAN. Une requête a également été déposée devant le
Tribunal administratif de Paris.
Malgré :
• l’enquête de l’inspection générale des affaires sociales (IGAS) qui s’en est suivie et indiquant :
«…une myocardite d’hypersensibilité … liée à un antigène non identifié (principe actif d’un
médicament ? excipients ?… »
• l’enquête de pharmacovigilance menée par le centre de Poitiers concluant une augmentation des
décès par affectations cardiaques de 28% entre 2015 et 2016 et que l’ENDOXAN est seul suspect
dans 13% des décès signalés
• Les plaintes des nouvelles victimes …………………………….les autorités sanitaires ne réagissent pas !
Nantes le 27 septembre 2021
Face à cet immobilisme de connivence, les familles des victimes ont mené des investigations approfondies
et découvert :
• qu’il existait deux autorisations nationales de mise sur le marché en France (AMM) d’ENDOXAN, de
formulations très différentes (poudre avec Chlorure de sodium AMM 1994 et lyophilisat avec
Mannitol AMM 1995, Laboratoire Sarget)
• qu’en 2001, le laboratoire BAXTER, suite à l’acquisition du laboratoire Asta Medica (Sarget), a
récupéré les deux AMM d’ENDOXAN, mais en a profité pour modifier la formulation de l’ENDOXAN
poudre dès 2003, sans que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) n’avertisse les
intéressés
• que l’ANSM a attendu 14 ans (07/2017) pour enfin communiquer un résumé des caractéristiques
produit de l’ENDOXAN poudre en ajoutant trois grands paragraphes décrivant les effets indésirables
graves attendus et indépendamment de la dose : “AFFECTIONS CARDIAQUES , AFFECTIONS
VASCULAIRES, AFFECTIONS RESPIRATOIRES, THORACIQUES ET MÉDIASTINALES »
• que la nouvelle formulation d’ENDOXAN poudre BAXTER ne dispose pas d’avis de la Haute autorité
de santé (HAS) et n’apporte selon l’ANSM aucun service médical rendu (SMR).
• que la coopérative d’acheteurs hospitaliers publics (UNIHA) attribue le marché d’ENDOXAN
poudre au laboratoire BAXTER uniquement sur des critères de prix. Le monopole est ainsi
maintenu.
• que le lot d’ENDOXAN poudre 6E089B administré aux patients de Nantes et à la petite fille d’Angers
est en réalité de l’ENDOXAN N-1g Lyophilisat sans conservateur, fabriqué en Inde et non pas en
Allemagne comme le prétend le laboratoire Baxter.
Après plusieurs dossiers de plaintes, les lignes bougeraient-elles enfin ?
En effet, le 31 juillet 2020, soit presque 4 ans après les décès inattendus Nantais et Angevins avec le même
lot d’ENDOXAN 6E089B, l’office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM) considère enfin
le décès d’un des patients du CHU de Nantes d’ANORMAL.
Il est scandalisant que des indemnisations isolées puissent être une stratégie du laboratoire Baxter et de
l’ANSM pour se soustraire à la justice pénale !
L’association d’Aide aux Victimes d’Endoxan Cyclophosphamide (AVEC) se bat pour la manifestation de la
vérité pour les familles de victimes et afin qu’il n’y ait plus d’autres décès par ENDOXAN.
Encore un nouveau scandale révélateur du pouvoir intolérable du
BIGPHARMA !
Sophie SALLAND, Présidente AVEC
Tel : +33(0)789373468
Association d’Aide aux Victimes d’Endoxan Cyclophosphamide
38A, rue du Château de l’Eraudière
44300 Nantes
https://victimescyclophosphamide.com
Vidéo : https://www.youtube.com/channel/UCR1dbnUFNwPg07RYVxdsJkQ/about?app=desktop
Email : effetssecondairesanticancereux@gmail.com