Levothyrox Et Autres Problèmes Ou Psychoses Médiator ?

La prévention un rôle primordial, faites votre choix ! Prévoir, en certains cas peut sauver des vies !

Le Levotyrox ?

SANTÉ – Les malades sont en colère. En mars 2017, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) annonçait que le laboratoire Merck avait, à sa demande, modifié la formule du Levothyrox. Ce médicament est prescrit lorsque la glande thyroïde ne fonctionne plus, produit insuffisamment ou en trop grande quantité des sécrétions. Cette modification avait eu lieu pour « garantir une teneur en substance active plus constante d’un lot de médicaments à l’autre ».

Face aux inquiétudes de nombreux patients parmi les trois millions de Français qui en prennent, l’ANSM a mis ce mercredi 23 août un numéro vert en place. Ils pourront désormais composer le 0800.97.16.53, du lundi au vendredi de 9 heures à 19 heures.

Les patients spécialistes et les non spécialistes ne veulent surtout pas et cela se comprend que les troubles du Levothyrox se tournent dans le même type de drame que le Médiator.

Ayant traité divers sujets à ce titre il n’y a pas de doute que notre plus grande richesse reste notre santé et la protection indispensable à tous nous proches. Le dernier thème traité par mes soins ICI Dont certains extraits en proviennent.

Vertiges, fatigue intense, maux de tête, prise de poids, problèmes digestifs… Suite au changement dans la composition du Levothyrox, un médicament prescrit pour les quelque 3 millions de patients ayant des problèmes de thyroïde, de nombreux patients se plaignent d’effets secondaires.

« Nous voulons qu’ils nous expliquent ce qu’ils ont changé »

Chantale Garnier, co-présidente de l’AFMT, l’association française des malades de la thyroïde, a tenu à réagir ce vendredi à ce qu’elle appelle « une véritable scandale de santé publique ».

Jointe par téléphone, elle a expliqué qu’elle prenait du Lévothyrox depuis 30 ans. « J’ai testé le nouveau médicament. Dès le deuxième jour, ça a été la catastrophe. J’ai eu les symptômes dont tout le monde parle. J’ai même ressenti un essoufflement et des palpitations cardiaques.

Pour elle, la nouvelle formule, en modifiants les excipients, a bien des effets secondaires potentiellement dangereux : « Ils ont supprimé le lactose, mais peut-être que ce n’est pas tout. Nous voulons qu’ils nous expliquent ce qu’ils ont changé exactement et ce qu’il faut faire en cas d’effets secondaires graves. On se demande où l’on va car l’Agence nationale du médicament, que nous avons rencontré en juillet, nous a dit d’attendre le mois de septembre alors qu’on a des patients qui partent aux urgences » a-t-elle affirmé.

Je suis une utilisatrice du médicament Levothyrox, et depuis quelques semaines, je me sens très mal témoigne Amélia, qui aconte ce qu’elle vit désormais au quotidien.

De la fatigue intense, des maux de tête, une prise de poids, des problèmes digestifs. J’ai du mal à me lever le matin pour aller au travail et surtout j’ai des vertiges. Je tiens mal debout assure la jeune femme. Je ne savais pas à quoi c’était dû, jusqu’à ce qu’une amie m’envoie un lien vers une pétition à signer sur le changement de formule du médicament qu’elle prend pour ses problèmes de thyroïde, le Levothyrox. La pétition, qui demande un retour à l’ancienne formule, a recueilli des milliers de signatures en deux mois. Près de 3 millions de patients atteints d’hypothyroïdie, mais également opérés pour des cancers de la thyroïde, l’utilisent.

« Ils ne dorment plus »

En mars, l’Agence nationale du médicament a exigé du laboratoire pharmaceutique américain Merck un changement dans la formule du produit. Si le principe actif reste le même, plusieurs excipients ont été modifiés. Et d’après de nombreux témoignages de patients, les effets secondaires indésirables suite à cette modification se sont multipliés.

Au micro de RTL, Beate Barthès, présidente de l’association « Vivre Sans Thyroïde », confirme : Certains se rendent comptent qu’un ou deux mois après ils sont de plus en plus fatigués par exemples, qu’ils ne dorment plus ou qu’ils ont des problèmes digestifs, ils se rendent compte que ça a commencé peu de temps après le changement. Et de déplorer : Certains pharmaciens disaient qu’il y avait seulement la couleur de la boîte qui avait changé par exemple. Les professionnels de santé n’ayant pas été suffisamment prévenus, ils n’ont pas eu le réflexe d’adapter la dose ingérée du médicament, pensant qu’ils prenaient le même produit alors que sa composition avait évolué. Or, trouver le bon dosage pour stabiliser la TSH de chaque patient est un processus long.

« Je me sens mal et ça dégrade ma vie »

Amélia ne décolère pas : Je n’étais même pas au courant que la formule avait changé, ni le médecin, ni la pharmacienne ne m’ont prévenue, en me disant que ça avait changé et que ça pouvait avoir des effets secondaires. Depuis je vis un enfer, je me sens mal et ça dégrade ma vie. Face à ce problème de santé publique, l’Agence nationale du médicament recommande aux patients une prise de sang 4 à 8 semaines après la prise de la nouvelle formule. Les effets indésirables les plus graves peuvent être signalés sur le site signalement.social-sante.gouv.fr.

Ce médicament contre les problèmes de thyroïde fait polémique. Sa composition a changé il y a quelques mois, créant de nombreux effets secondaires. Trois millions de personnes en France prennent du Levothyrox pour lutter contre leurs problèmes de thyroïde. Pour certains malades, qui en prennent depuis des années, la différence entre l’ancienne et la nouvelle composition est criante. « Depuis, je perds mes cheveux, je me sens fatiguée alors que pendant six ans j’ai été bien stable », témoigne Fatima dans le journal Le Parisien. Fin juin, une pétition a été lancée pour revenir à l’ancienne formule. Elle a récolté plus de 27 000 signatures ainsi que plusieurs centaines de témoignages sur les nouveaux effets secondaires du Levothyrox : fatigue, vertiges, maux de tête, déprime ou encore bouffées de chaleur. Malgré cela, la directrice des affaires médicales du laboratoire Merck France, Sylvie Chabac, indique au Parisien que la nouvelle composition serait adoptée au niveau européen. Il faut attendre une catastrophe ?

Le Levothyrox a changé en mars 2017 à la demande de l’ANSM, l’Agence nationale de la sécurité du médicament. Jean-Michel Race, directeur des médicaments en endocrinologie, explique que « l’objectif était de garantir une teneur en lévothyroxine plus constante dans le médicament. Sylvie Chabac mentionne une autre modification dans la composition : On a supprimé le lactose. On l’a remplacé par de l’acide citrique, un excipient qu’on retrouve partout dans l’alimentation, et par du mannitol, à toutes petites doses. Cette nouvelle formule était donc censée être plus stable et mieux tolérée.

 

Pour les très nombreuses personnes qui sont obligées de prendre du Lévothyrox, un important problème se présente. En effet, les laboratoires ont décidé de changer certains excipients et il en résulte que trop de patients ne supportent pas le nouveau Lévothyrox, ils ressentent d’importants effets secondaires. Quand on sait qu’il est très difficile de stabiliser la TSH, il est inadmissible d’avoir modifié ce médicament. Bien sûr, les laboratoires ont pris cette décision sans prendre l’avis des patients concernés.

Je suis moi-même concernée car j’ai été opérée d’un cancer de la thyroïde en 2016, et j’appréhende grandement d’avaler ce nouveau médicament. J’ai décidé de lancer une pétition après avoir lu tous les témoignages de patients souffrant d’effets secondaires et ne sachant plus à quels saints se vouer. On nous dit que c’est pour les personnes qui ne supportent pas le lactose, mais il n’y a pas que ce changement qui intervienne, sinon comment expliquer tous ces effets secondaires ? Nous demandons à ce que les laboratoires concernés reviennent à l’ancienne formule.

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Le Dr Jean-Pierre Willem nous présente les meilleurs traitements alternatifs des dysthyroïdies.

Sans elles, la vie serait impossible. Elles jouent un rôle de contrôleur et de régulateur essentiels dans l’activité métabolique de pratiquement tous les tissus de l’organisme : elles assurent le développement cérébral chez le foetus et le jeune enfant et la croissance osseuse. Elles stimulent la consommation d’oxygène, aident à réguler le métabolisme des lipides et des hydrates de carbone. Elles exercent une action sur la régulation du rythme cardiaque. Elles favorisent le développement des cellules nerveuses. Une glande thyroïde en bon équilibre est une des clés de la prévention du vieillissement. Il n’est pas surprenant que le moindre dysfonctionnement de la glande hypothyroïdie, hyperthyroïdie présente de nombreuses répercussions sur notre santé. Sept femmes pour un homme sont atteintes de ces dysfonctionnements. Des endocrinologues considèrent qu’une femme sur deux a un problème thyroïdien. On appelle parfois la thyroïde le « troisième ovaire », ce qui explique son impact hormonal. Les tests ne sont pas toujours probants. Il faut donc prendre en considération la clinique.

Hypo ou hyper ? En permanence, on retrouve cette alternative.

Souvent, les symptômes sont mal identifiés quand il s’agit d’une hyper ou d’une hypothyroïdie légère. Ils sont mal perçus chez les personnes âgées qui ne sont pas toujours diagnostiquées. D’où la nécessité de consulter et de faire des examens pour confirmer le diagnostic. Aussi variés qu’ils soient, les symptômes accompagnant un trouble de la thyroïde ne s’installent pas du jour au lendemain : Frilosité excessive, troubles des règles, ralentissement du coeur, augmentation du cholestérol, survenue du diabète, prise de poids, constipation, dépression, chute des facultés intellectuelles pour l’hypothyroïdie.

Tremblements, nervosité, oedème des membres inférieurs, amaigrissement, sensation de chaleur, rythme cardiaque accéléré, transpiration pour l’hyperthyroïdie. Cette litanie ne se résume pas à cette alternative. La liste est riche dans le domaine !

Lorsque la thyroïde ne fabrique pas suffisamment d’hormones, l’hypophyse produit davantage de TSH pour la stimuler. Ce système ingénieux fonctionne sous forme de rétrocontrôle ou de feed-back. Le dosage de la TSH serait le test le plus sensible pour affirmer la qualité de la fonction thyroïdienne. La problématique du dosage normal de la TSH permet-elle d’éliminer un dysfonctionnement thyroïdien ? L’interrogatoire reste le temps clef de l’examen.

L’hypothyroïdie

Le terme d’hypothyroïdie regroupe un ensemble de syndromes résultant d’une sécrétion insuffisante des hormones thyroïdiennes. On distingue deux formes d’hypothyroïdie : la primaire et la secondaire. Dans le premier cas, la carence en hormones thyroïdiennes est due à un mauvais fonctionnement de la glande thyroïde elle-même. L’hypothyroïdie secondaire, quant à elle, est consécutive à une atteinte de l’hypophyse ou de l’hypothalamus. On parle aussi d’hypothyroïdie d’origine centrale. Chez l’enfant et l’adulte, les personnes âgées atteintes d’hypothyroïdie peuvent présenter les signes typiques de la maladie : frilosité, peau froide et sèche, voix rauque, prise de poids malgré un manque d’appétit, etc. Toutefois, La personne âgée, l’hypothyroïdie peut se manifester d’emblée par des complications comme l’insuffisance cardiaque, la dépression mentale ou des hallucinations. Des troubles de la mémoire, n’alarmant personne car fréquents chez les personnes âgées, peuvent en être le premier signe.

Résumé des symptômes de l’hypothyroïdie

Etat général : fatigue et difficulté à démarrer le matin, sensibilité au froid, variation du poids, rétention d’eau, peu de transpiration, hypoglycémie, visage bouffi. Système nerveux et cerveau : ralentissement du psychisme, dépression, migraine, irritabilité, nervosité, instabilité émotionnelle, mauvaise mémoire et concentration, insomnie, vertige, impression d’avoir le cerveau dans le brouillard, raisonnement lent. Yeux/oreilles : vision floue et trouble de l’audition avec vertige. Digestion : constipation, digestion difficile, flatulences.

Système sexuel : problèmes menstruels, syndrome prémenstruel, règles trop ou peu abondantes, fausses couches à répétition, seins fibrokystiques, perte de la libido, stérilité. Système immunitaire : faiblesse immunitaire, infections récurrentes.

Muscle/squelette : arthralgie, myalgie, lombalgie, mouvements lents, faiblesse, crampes et douleurs musculaires, articulations raides ou douloureuses, tendinites résistantes. Dangers de certains médicaments, une réalité, des poisons ! Axe partiellement en France.

Nous perdons, une bonne part de notre Q.I. Cela tient à divers paramètres. Notre mode vie, réduit avec des inflexions via : l’hypothalamus, le cortex, la thyroïde, etc. Notre style de vie au quotidien nous démuni, sur diverses étapes. Produits dans nos maisons dangereuses.

Les pertes de mémoires, d’autonomies, etc. Pas Une latence, des responsables, de tous types. Sur le terrain, réalisant films et autres. Refuser de nous tenir informé, c’est cautionner indirectement ou pas ce qui se passe. Débattons de ces sujets. Rien n’est tout gris, blanc ou noire. Certains risques, dangers, l’attestent ! Décrochage scolaire de la maternelle à la terminale une évidence. Manque d’informations sur les sujets traités. Donc peu de moyens d’agir, les faits cités, d’où découlent nos sociétés !

Première partie.

Chacun face à ses responsabilités, plutôt que d’être persuadé que notre justice ; fasse rendre des comptes. Parution, et suite, dû aux faits que des médias certains dans leurs seuls intérêts nous enfument. Divers marasmes, contre notre santé. Les responsabilités du monde politico-financier. Ils fraudent presque à la perfection.

Le journalisme d’investigation, ne peut se traiter facilement. Raisons multiples, diverses. Il y a va de notre survie. L’Etat, divers gouvernements, de tous bords en France, Europe ont droit de vie et de mort, quand ils le veulent. Sans exclure ce que nous mettons dans nos assiettes, d’où que cela provienne.

Certains produits ne comportent pas un répétitif de lien. Ils sont déjà, dans les mêmes produits poisons.. Les contextes des médicaments en France, du l’Europe, cela génère des milliards de profits. Effets : des médicaments en France.

Jean-Christophe Brisard : « Les enjeux offrir la possibilité, au grand public : de comprendre comment fonctionne notre système de santé. De mise sur le marché, de sécurité, en apportant le plus d’infos neutres possibles. On est très factuel. On se rend compte que l’Etat n’en a pas le pouvoir.

Un nouveau scandale pharma logique êut arriver ?

JC.B : « Oui, complètement. Au vu des risques potentiels, il a obtenu son autorisation à l’échelon européen. « On n’a pas pu s’opposer à son arrivée sur le marché » Vous dénoncez le poids du lobby pharmaceutique.

Qu’en est-il réellement ?

Antoine Béguin : « Les laboratoires sont juges et parties ». Ils proposent les essais cliniques. Qui vont donner toutes les informations à l’agence sanitaire pour bénéficier de l’AMM.

Vous n’avez pas peur d’alimenter la méfiance des Français : envers le monde médical ?

A.B : « Exactement ce qu’on l’on veut éviter. Le but, faire prendre conscience de l’enjeu et de la réalité. L’industrie pharmaceutique, effets secondaires graves :

Le syndicat de Médecine Générale France, accuse : Le gouvernement de trouver des boucs émissaires. Prescrit de bonne foi par des médecins. des documents montrent que des médecins ont eu des doutes. On leur a menti. Liste non exhaustive des 400 médicaments contenant du parabène Mots clefs : médicament

Autre scandale pharmaceutique. Une liste de 400 médicaments contenant du parabène paraît. Cancers en tous genres. Des risques sont dans nos cuisines, nos assiettes. La pilule en tant que contraceptif, présente des dangers. Les risques que ne courraient pas nos grands-mères.

 

Le Préviscan dangers anticoagulants

Face à la ressemblance des comprimés, des patients ont confondu leur anticoagulant Préviscan 20 mg (fluindione) avec d’autres médicaments à visée cardiovasculaire. C’est pourquoi l’ANSM a demandé au fabricant de changer la couleur des comprimés. Désormais, ils seront roses. « Des signalements de confusion, ayant pu avoir des conséquences graves, entre l’anticoagulant Préviscan et d’autres médicaments à visée cardiovasculaire ont été reçus », indique l’Agence nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM). « Ces erreurs sont liées à la forte ressemblance entre les comprimés quadri sécables en forme de trèfle de Préviscan et ceux d’autres médicaments. » Comme par exemple le nebivolol, le lisinopril et le captopril. Suite.

 

Démontrer que la santé atout majeur, avec l’emploi. Sans leurs apports, et concours, à charge et décharge. Jamais je n’aurai pu établir ces enquêtes.

Il y va d’un équilibre essentiel qui demain peut toucher chacun de nous, donc nous tenir informés demeure la meilleure solution. Le meilleur conseiller dans tous les cas reste votre médecin traitant. L’Etat tente de faire des économies dans les domaines qui fournissent une vie saine. La santé, l’emploi : n’en prend pas le bon cap.

agoravox.fr – Le Panda – Patrick Juan – vendredi 25 août 2017

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