Profusion d’ADN fœtaux dans les vaccins, des conséquences potentiellement incalculables

Profusion d’ADN fœtaux dans les vaccins, des conséquences potentiellement incalculables

Nous avons le grand honneur d’accueillir ici Theresa Deisher parmi nos membres, il s’agit d’une chercheure américaine de grand talent. Theresa est docteur en physiologie moléculaire et cellulaire au département de physiologie moléculaire et cellulaire de l’Université de Stanford. L’article de ce jour a déjà fait le tour du monde (*) et paraît pour la première fois en langue française. Pour la énième fois l’AIMSIB se positionne clairement: Les vaccins de qualités déplorables doivent être dénoncés pour disparaître au plus vite, en voici un exemple tout-à-fait concret. L’auteure soulève des questions et utilise des concepts aussi originaux que passionnants même s’ils peuvent mériter, parfois, confirmation. Bonne lecture.

LETTRE OUVERTE AUX LÉGISLATEURS CONCERNANT L’ADN DE CELLULES FOETALES DANS DES VACCINS

Je m’appelle Dr. Theresa Deisher. Je suis la fondatrice et la principale scientifique du Sound Choice Pharmaceutical Institute, dont la mission est d’informer le public sur la sécurité des vaccins et de faire pression sur les fabricants pour qu’ils fournissent au public des vaccins meilleurs et plus sûrs.

J’ai obtenu mon doctorat en physiologie moléculaire et cellulaire à l’Université de Stanford en 1990 et j’ai terminé mon travail post-doctorat à l’Université de Washington. Ma carrière s’est déroulée dans l’industrie de la biotechnologie commerciale et j’ai travaillé aussi bien en biologie fondamentale qu’à la conception de nouveaux médicaments et à leur développement clinique.

Je vous écris au sujet de faits scientifiques non réfutés sur les contaminants de l’ADN fœtal dans le vaccin rougeole-oreillons-rubéole, qui doivent être portés à la connaissance des législateurs et du public.

Le vaccin MMR II (équivalent du ROR) de Merck (ainsi que le vaccin anti-varicelle, Pentacel et tous les vaccins contenant l’hépatite A) est fabriqué à l’aide de lignées de cellules fœtales humaines et est fortement contaminé par l’ADN fœtal humain issu du processus de production. Les taux chez nos enfants peuvent atteindre 5 ng/ml après la vaccination, en fonction de l’âge, du poids et du volume sanguin de l’enfant.

Ce niveau est connu pour activer le récepteur Toll-like 9 (TLR9), qui peut provoquer des attaques auto-immunes.

Pour illustrer la capacité auto-immune de très petites quantités d’ADN fœtal, considérons ceci: l’accouchement est déclenché par l’ADN fœtal du bébé qui s’accumule dans le sang de la mère, ce qui déclenche un rejet immunitaire massif du bébé. Cela fonctionne comme ceci : des fragments d’ADN fœtal d’un bébé d’une longueur d’environ 300 paires de bases sont retrouvés dans le sérum d’une femme enceinte. Lorsqu’ils atteignent un taux de 5,08 ng/mL dans le sérum, ils déclenchent l‘accouchement par activation des récepteurs TLR9 (2).

Les niveaux d’ADN fœtal chez un enfant qui a reçu une injection de vaccins fabriqués à partir de cellules fœtales atteignent le même niveau que celui qui déclenche le rejet auto-immun du bébé par la mère.

Quiconque affirme que l’ADN fœtal contaminant nos vaccins est inoffensif ne connaît rien de l’immunité et des récepteurs Toll-like ou ne dit pas la vérité. Si l’ADN fœtal peut déclencher l’accouchement (une réaction auto-immune naturellement souhaitée), les mêmes niveaux dans les vaccins peuvent déclencher l’auto-immunité chez un enfant. L’ADN fœtal fragmenté contenu dans les vaccins a une taille similaire, environ 215 paires de bases.(3) Ceci est une preuve biologique directe que les contaminants de l’ADN fœtal dans les vaccins ne sont pas en faibles quantités inoffensives. Ils sont un très puissant déclencheur de l’inflammation.

L’administration de fragments d’ADN fœtal humain (primitif) à un enfant pourrait générer une réponse immunitaire pouvant également provoquer une réaction croisée avec son propre ADN, l’ADN contaminant pouvant présenter des zones de chevauchement très similaires à celles de son propre ADN.

Les enfants autistes ont dans leur circulation des anticorps anti-ADN humain que les enfants non autistes n’ont pas. Ces anticorps peuvent être impliqués dans des attaques auto-immunes chez les enfants autistes (4). Dans une étude récente, la Duke University a démontré que des améliorations significatives du comportement avaient été observées lorsque des enfants atteints de troubles du spectre autistique étaient traités avec leur propre sang autologue conservé après ponction du cordon ombilical. Ce traitement montre clairement que la plupart des enfants autistes ne naissent pas ainsi, car des maladies génétiques telles que le syndrome de Down ou la fibrose musculaire ne peuvent pas être traitées avec des cellules souches autologues.

Par conséquent, un ou des facteurs environnementaux, introduits dans le monde vers 1980 lorsque l’autisme a commencé à augmenter, doivent être identifiés et éliminés ou réduits dans l’environnement.

• Il existe une forte corrélation entre la hausse du taux d’autisme et le remplacement par le fabricant américain de vaccins de lignées cellulaires d’origine animale pour le vaccin anti-rubéoleux par des lignées cellulaires avortées chez l’homme à la fin des années 70. (6)

• En 1981 apparaît le début de l’augmentation marquée du taux de trouble autistique(AD) pour les données de la Californie et des États-Unis, précédé d’un changement de processus de fabrication: En janvier 1979, la FDA a approuvé le remplacement du virus de la rubéole par le virus de la rubéole d’origine animale (nombreux passages du virus HPV-77 dans des cellules d’embryon de canard) sur la lignée de cellules fœtales humaines WI-38 en utilisant la souche de virus RA27 / 3. Le vaccin monovalent contre la rubéole nouvellement approuvé et un vaccin trivalent contre les oreillons, la rougeole et la rubéole utilisent la lignée de cellules fœtales WI-38 pour la fabrication de la portion du vaccin antirubéoleux.

• Avant 1980, le trouble du spectre autistique était une maladie très rare, presque inconnue. Selon les chiffres du CDC, le taux d’autisme en 2014 était de 1 enfant sur 59, une très forte augmentation depuis 2000, année où il était de 1 sur 150. CDC: «Le coût total par an pour les enfants atteints de TSA aux États-Unis se situerait entre 11,5 et 60,9 milliards de dollars (8) »

( NDT : Le taux d’autisme plus élevé chez les garçons par rapport aux filles pourrait alors s’expliquer par le fait que les filles seraient plus tolérantes à l’ADN fœtal circulant ?)

• Récemment, des duplications et des délétions chromosomiques ont été reconnues dans jusqu’à 10% des troubles du spectre de l’autisme simplex, corroborant les déclencheurs environnementaux sur la génétique des troubles du spectre de l’autisme (9).

• Le vaccin antirubéoleux monovalent correspondant au composant du ROR contient des contaminants d’ADN fœtal d’origine humaine d’environ 175 ng, soit plus de 10 fois le seuil recommandé par l’OMS, fixé à 10 ng par dose de vaccin (10).

• Aucun autre médicament sur le marché ne serait approuvé par la FDA sans un profil de toxicité complet (la FDA suit les directives internationales de l’ICH) -> l’industrie pharmaceutique n’a jamais procédé à la détection de la contamination par l’ADN du vaccin ROR.

•Les vaccins produits avec des lignées de cellules fœtales humaines contiennent des débris cellulaires et de l’ADN humain résiduel contaminant, qui ne peuvent pas être totalement éliminés lors du processus de purification du virus en aval (11). De plus, l’ADN n’est pas seulement caractérisé par sa séquence (ATCG), mais également par sa modification épigénétique (par exemple, un schéma de méthylation de l’ADN, etc.).

Cette modification est hautement spécifique d’une espèce, ce qui explique pourquoi l’ADN non humain sera éliminé, alors que ce n’est pas nécessairement le cas avec l’ADN humain fœtal.

Injecter à nos enfants des contaminants de l’ADN fœtal humain présente le risque de provoquer deux pathologies bien établies:
1) Mutagenèse par insertion: l’ADN humain fœtal s’intègre dans l’ADN de l’enfant en provoquant des mutations. La thérapie génique utilisant la recombinaison homologue de petits fragments a démontré qu’une valeur aussi faible que 1,9 ng / ml de fragments d’ADN entraîne l’insertion dans le génome de cellules souches de 100% des souris injectées (12). Les taux de fragments d’ADN fœtal humain chez nos enfants après la vaccination avec les vaccins contenant le vaccin RRO, Varivax (varicelle) ou contre l’hépatite A atteignent des niveaux supérieurs à 1,9 ng / ml.
2) Maladie auto-immune: l’ADN humain fœtal amène le système immunitaire de l’enfant à attaquer son propre corps.

Une préoccupation supplémentaire: la contamination par les rétrovirus. Le rétrovirus endogène humain K (HERVK) est un contaminant du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (13).

– HERVK peut être réactivé chez l’homme (14). Il code pour une protéine (intégrase) spécialisée dans l’intégration de l’ADN dans le génome humain.
– Plusieurs maladies auto-immunes ont été associées à l’activité de HERVK (15).
– Il fait également partie de la même famille de rétrovirus que le virus MMLV utilisé dans un essai de thérapie génique, dans lequel une insertion génique inappropriée (mutagenèse par insertion) a conduit à des mutations somatiques supplémentaires et à un cancer chez 4 des 9 jeunes garçons (16).
– Il est donc possible que le fragment de gène HERVK présent dans le vaccin RRO soit actif, code pour l’intégrase ou pour la protéine d’enveloppe et puisse donc induire l’insertion du gène, favorisant ainsi la mutagenèse insertionnelle et l’auto-immunité. La présence à la fois de l’ADN fœtal hautement contaminant et de la contamination par HERVK dans le vaccin ROR représente un risque non étudié, avec des implications et des risques énormes pour la santé individuelle et publique.

Solution: Les fabricants sous pression doivent revenir aux vaccins antirubéoleux dérivés de lignées de cellules animales, comme cela a été fait avec succès au Japon. Celui utilisé au Japon contient les souches Takahashi du virus vivant atténué de la rubéole, produit sur des cellules rénales de lapin. Il a récemment été prouvé qu’une seule dose de ce vaccin conférait une immunité pendant au moins 10 ans en l’absence d’épidémie de rubéole.(17)

Il faut fractionner le vaccin ROR en trois vaccins monovalents proposés individuellement, comme au Japon. Le processus de fabrication du vaccin ROR doit être modifié pour traiter et éliminer les risques susmentionnés pour le public.

Merci pour votre considération. Je serai heureuse de répondre à vos questions concernant ce qui précède.

Cordialement, Theresa A. Deisher, Ph.D.
8 Avril 2019

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